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Voilà Juste quelques mots pour rappeler à tout le monde. Vous le savez tous. En conclusion, je vous suis très reconnaissante, car vous avez bien pratiqué et aidé d’autres personnes. Je suis également très fière de vous, parce que votre vie est également très difficile et ardue, mais vous ne vous plaignez pas. Vous continuez à endurer, à pratiquer spirituellement et à aider les autres. Malgré toutes les tentations extérieures, vous ne régressez jamais. Ça signifie que vous avez progressé, et qu’il n’est pas nécessaire de parler du Paradis ou de l’enfer. Si les gens peuvent être aussi bons, comme vous l’êtes, nous n’avons même pas besoin du Ciel. N’est-ce pas ? (Oui.) Parce que si tout le monde était comme vous, nous serions au Paradis. Puisque nous sommes une si bonne personne, notre conscience est en paix et notre esprit est heureux ; c’est notre propre Paradis. S’il y a vraiment un Paradis là-haut, c’est merveilleux. Mais nous savons déjà que le Paradis existe. Il n’y a aucun doute à ce sujet, car nous y sommes allés pour le voir et nous en sommes revenus. Ce que je veux dire, c’est que même s’il n’y a pas vraiment de Paradis, nous avons déjà le Paradis en nous. Nous le portons dans notre poche tous les jours. Où que nous allions, nous avons le Paradis dans notre poche. Donc, ce que je veux dire, c’est que pour les bonnes personnes comme vous, s’il n’y a vraiment pas de Paradis, cela ne nous dérange pas non plus. Parce que nous avons notre propre Paradis. D’accord. C’est bien. Merci. Il est temps de faire un peu d’exercice. Cependant, nous savons déjà que le Paradis existe, n’est-ce pas ? La plupart d’entre vous le savent. Vous le savez quand vous méditez. Vous êtes en contact avec le Ciel ; vous montez et descendez, ainsi, vous devenez chaque jour plus heureux, plus sage et plus paisible. Il n’est donc pas nécessaire de se demander si le Paradis existe ou non. Nous connaissons tous la réponse. Ce que je veux dire, c’est : au cas où le Paradis n’existerait pas, cela ne nous dérange pas. Parce que nous sommes heureux, comblés et satisfaits. Alors, continuez à vivre dans ce Paradis ; mais aussi, montez vers des Cieux de plus en plus élevés. Et aidez (les gens) de ce monde à devenir comme nous – plus ils sont nombreux, plus ils sont heureux, mieux c’est, plus ils connaissent le Paradis, mieux c’est. Plus il y a de gens qui connaissent le Paradis, mieux c’est. Ainsi, notre vie ne sera pas gâchée. Merci à tous. Bonne année ! Que tout se passe bien. (Merci, Maître.) J’ai oublié : Puissiez-vous progresser dans la pratique spirituelle. Les habitants de Taïwan (Formose) aiment aussi entendre « Je vous souhaite la prospérité ». (Merci, Maître.) À plus tard. Au revoir. À ce soir. D’accord ? Oui.